Essayez de prendre les mêmes décisions que Elon Musk. Serez-vous capable de créer Tesla? SpaceX? Ou mourrez-vous dans l'une des aventures de la vie de Musk? Ou serez-vous transporté dans un univers parallèle en fonction de vos décisions? Ce livre vous en donnera la réponse.

♥♥/5

Voilà un livre qui change de mes lectures habituelles ! Il s'agit en réalité d'un cadeau que j'avais fait à mon mari puisqu'il apprécie cette personnalité et ses accomplissements. Ayant été moi même attirée par le coté livre-jeu, j'ai décidé de lui donner sa chance.

Malheureusement, on dit jamais 2 sans 3, et bien voici ma 3e lecture de suite qui me laisse finalement peu enthousiaste ! Au fil de ma lecture, j'ai été surprise par des formulations étranges, qui à vrai dire ne sonnent carrément pas français ( tomber en amour; fêter l'anniversaire de naissance; se rendre chez des amis afin de défoncer l'année etc...). Je cherche donc qui a traduit ça, mais aucune trace d'un traducteur, en revanche je lis en quatrième de couverture que l'auteur Steve Rioux vit à Quebec. Tout s'explique, il doit s'agir d'expressions québéquoises ! Rassurée, je reprends ma lecture en essayant de ne pas m'attacher à ces bizarreries. Mais bientôt je bloque sur d'autres passages qui ne peuvent être mis sur le compte d'un autre dialecte/langue. "Soit je quitte la société avec tout les employés et je démarrage ma propre banque". OK... bon une erreur ça peut arriver. " Votre préféreriez faire comme avec Space X" Bon, peut-être une faute de frappe... "Ce sera ressemblera à une sorte de serveur" Trop c'est trop. Quand on est pas capable de relire son manuscrit, ou de le faire relire par des personnes compétentes, on ne publie pas un livre !

A part ça, le principe est celui d'un livre dont vous êtes le héros, c'est à dire qu'il vous proposera des choix. En fonction de votre réponse, vous devez directement passer au chapitre X ou Y. C'est donc vos propres choix qui façonnent l'histoire, et qui vous permets de re-jouer plusieurs fois en faisant des choix différents. Le principe de base est vraiment sympathique, malheureusement ici il est plus que basique. Il n'y a finalement que peu de choix à faire, la plupart étant sans vraies conséquences. Vu qu'il s'agit d'une biographie, la trame générale de l'histoire reste la même dans tout les cas et vos choix n'auront que peu d'impact. 

Quand à l'histoire en elle même, peu de surprise évidemment puisque c'est une biographie. Elle a tout de même l'avantage d'être plus ludique que l'est généralement ce type d'ouvrage. 

Rentrons dans le vif du sujet, avec les aventures d'Impala et son petit nez capricieux. 

La dernière fois, je vous disais que ses éternuements avaient repris et que j'avais donc pris rendez vous chez la vétérinaire. En attendant j'avais repris la phytothérapie ainsi que les inhalations. Au bout de 4 jours, elle semblait à nouveau parfaitement remise, j'ai donc décidé d'arrêter jusqu'au rendez vous, histoire de ne pas débarquer avec une miss en parfaite santé et une vétérinaire qui ne saurait trop quoi me dire ! Finalement, la veille du rendez vous, j'ai tout simplement annulé, puisque les éternuements sont très rares depuis, bien que j'ai arrêté ce mini traitement depuis plus d'une semaine déja. On continue donc à surveiller, comme toujours, mais dans l'immédiat, tout va bien, en espérant que ça dure ! 

A part ça, la miss a toujours autant de caractère. Quand elle a décidé que j'ai assez tricoté pour aujourd'hui, elle me saute dessus, et vient tranquillement s'installer, quitte à se coucher sur mon tricot ! Ok, le message est clair, il est temps de s'occuper d'elle et de lui donner sa dose de caresses ! 

De son coté Pixel est fidèle a lui même, il accepte quelques petites caresses de temps en temps, mais quand il ne veut pas, il sait se faire comprendre en secouant énergiquement son pompon ! Rien de mieux qu'une bonne petite sieste pour oublier les contrariétés !!

Restons dans le monde des lapins, mais des virtuels cette fois. Je vous avais parlé il y a quelques temps de la nouvelle extension du jeu des Sims 4 "à la campagne" qui faisait la part belle aux animaux de la ferme. A peine sorti, à peine testé ! Ma Sim emménage dans une petite ferme, et direction la forêt à la recherche de lapins ! 

Ce premier lapin croisé, je l'ai appelé Panpan. Comme tout les autres lapins du jeu, il est sauvage et ne peut être adopté comme animal de compagnie. En revanche vous pouvez vous en faire un ami, et dans ce cas, il viendra vous rendre visite chez vous, et peut même vous aider à jardiner en grignotant les mauvaises herbes autour de votre potager ! 

Un peu plus loin, je rencontre un joli lapin qui fait le beau. Son pelage me rappelle un peu celle de mon Heaven, voilà donc son nom tout trouvé !

Une fois ami avec un lapin, il acceptera les caresses, et même les gros câlins ! (en vrai, c'est loin d'être systématique ^^)

Par la suite, j'ai également rencontré un prénommé Gipsy, puisqu'il a un joli pelage dalmatien comme son véritable homonyme. Je ne sais pas trop pourquoi, mais lui adore particulièrement jouer le chien de garde devant la porte d'entrée de la maison !

N'oublions pas ma rencontre avec le double virtuel de Pixel !

Il y a également Boule de neige qui a enfilé sa plus belle robe pour faire la sieste au salon, à coté de Teddy le chien ! 

Et puis n'oublions pas la petite Impala, qui comme dans la vraie vie, adore les câlins ! Elle accepte même de se faire porter par le jeune enfant à ma Sim (oui il a la peau bleue, son père est un extra-terrestre ^^)

On termine par Pixel qui gambade joyeusement parmi ses copains de ferme, avec Jacinthe la vache, Peluche le lama, et Omelette le coq (ses amies les poules se promènent un peu plus loin !)

Bref, vie réelle ou monde virtuel,

avec des lapins, la vie est plus belle !

Voici mon second exemplaire du pull William d'Ann Kingstone, destiné à ma mère pour Noël !

Cette fois ci je l'ai réalisé avec du fil Promo Fin de chez Katia (mais acheté dans la formidable boutique de La grange à Laine, le paradis des tricoteurs ! J'étais pire qu'une gamine dans un magasin de bonbons devant tant de laine partout, du sol au plafond ! D'un coté je regrette que ce soit assez loin, mais finalement c'est peut-être mieux comme ça, je suis déja envahie de pelotes chez moi, et je suis trop faible pour résister !)

Pour la suite, il me reste encore le cadeau de Noël de mon père a faire, et j'ai opté pour ce pull de Caitlin Hunter !

Tome 1 : La tombe maudite

Setna est un prince, le fils de Ramsès II. Scribe aux vastes connaissances, c'est un brillant magicien, capable de lutter contre les forces du mal.

Alors que Ramsès le Grand a remporté la bataille de Nubie, une tragédie se produit : le vase scellé d'Osiris, le plus précieux des trésors, contenant le secret de la vie et de la mort, a disparu.
Pour contrer les plans du voleur, Setna s'allie à Sékhet, jeune femme aux dons exceptionnels, avec laquelle il noue, envers et contre tous, une idylle passionnée.

Ensemble, ils devront résoudre des énigmes mystérieuses et dénoncer les complots les plus inattendus...

Tome 2 : Le livre interdit

Le prince Setna, fils de Ramsès II, a une mission à accomplir : se procurer le Livre de Thot, le livre interdit, qui seul pourrait arrêter le voleur du vase scellé d'Osiris, une pièce unique qui contient le secret de la vie et de la mort.
De son côté, Sékhet, la fiancée de Setna, se cache depuis que son père, après lui avoir fait une révélation terrifiante, a voulu l'assassiner. Réfugiée chez des paysans, elle doit une nouvelle fois fuir pour échapper à des tueurs.
Pourra-t-elle transmettre à temps l'épouvantable secret dont elle est dépositaire ? Car pendant ce temps, le mage noir progresse sur le chemin du Mal...

Tome 3 : Le voleur d'âmes

Setna, fils cadet de Ramsès II, et sa compagne Sékhet poursuivent leur combat contre le Mal. Mais la tournure des événements complique leur mission...
Alors que tous pensent que Setna a péri noyé, il navigue vers la cité sacrée de la déesse-Chatte, espérant y découvrir le vase d'Osiris, sans lequel il ne peut arrêter le mage noir. Malheureusement, le voilà en proie à une illusion mortelle....
Sékhet, convaincue que son amant est toujours vivant, s'est réfugiée dans le temple de la déesse-Lionne. Malgré ses précautions, elle y court un grand danger.
Séparés et désemparés, comment Setna et Sékhet peuvent-ils continuer à s'opposer à l'inexorable progression du mage ?

Tome 4 : Le duel des mages

Le prince Setna est sur le point de retrouver sa fiancée Sékhet, qui se cache dans Memphis pour échapper aux tueurs. Mais le mage noir, Kékou, réussit à le devancer. Il kidnappe la jeune femme afin de s'emparer de son âme. Cet odieux stratagème est le seul qui lui permettrait d'actionner les pouvoirs du vase d'Osiris et d'en faire une arme de destruction.
Setna doit faire vite pour sauver son grand amour. Accompagné de ses fidèles complices, il se lance dans une terrible bataille contre le Mal.
Parviendra-t-il à déjouer les pièges maléfiques de Kékou ? Réussira-t-il à défaire l'infâme complot que ce dernier ourdit à l'encontre de Ramsès II ? Retrouvera-t-il enfin de vase d'Osiris ?

♥/5

J'espère ne pas en faire une habitude, mais me voilà une nouvelle fois bien déçue par ma lecture ! Autant je reprochais au précédent son style bien trop complexe, autant avec celui-ci j'ai eu l'impression de lire un simple résumé. Tout est très expéditif (par exemple, une scène décrit une cérémonie religieuse où la  famille royale fait des offrandes au Nil, sous les acclamations de la foule; c'est bazardé en 1page 1/2 à peine...), très factuel (il fait ci; puis machin fait ça, pendant que bidule va par là...). Résultat, on survolle l'histoire sans vraiment réussir à rentrer dedans. Ca n'aide pas de n'entrevoir à peine les pensées des personnages, qui sont d'ailleurs assez caricaturaux ( un des militaires n'a droit qu'à un attribut : il mange des oignons. C'est la seule chose qu'on sait vraiment de lui, et ça revient à tout bout de champs, il arrive même à en manger en pleine bagarre...). Pour ne rien arranger, le style est juste abérrant. Je pense que cette simple phrase  résume bien le niveau : " Nefertari invita ses invités" (à passer dans une autre pièce ou quelque chose du genre). Un collégien serait capable de tourner ça plus élégamment...

J'en reviens à ce coté "résumé" puisque malgré les 4 tomes, le texte est en réalité très court et se lit particulièrement vite (même pas 1 semaine pour les 4). Prenons le dernier tome en exemple. Il fait 240 pages, c'est déjà pas énorme. Mais en réalité, le texte ne commence qu'à la page 15, et il y a 45 pages (oui j'ai compté) réparties tout le long qui sont soit blanches soit avec des dessins(qui donnent surtout l'impression d'être là pour meubler). On arrive donc à 180 pages de texte pour ce dernier tome, mais c'est sensiblement pareil pour les 3 autres. Ca me donne l'amère sensation d'avoir fait 4 tomes pour bien prendre le maximum d'argent au lecteur, sur un livre écrit à la va vite... Christian Jacq m'avait pourtant habitué à mieux ! 

Concernant l'histoire en elle-même, elle n'est pas mauvaise, mais franchement elle m'a beaucoup frustrée et semble très peu logique. Sekhet sait qui est "le grand méchant", mais plutôt que d'en avertir le général qui vient la voir, elle se contente de repousser ses avances. Le chef de police subit ouvertement une tentative de corruption de ce "grand méchant", mais ça ne lui viendrait visiblement pas à l'esprit qu'il pourrait être à l'origine des problèmes, ni même d'aller l'interroger. Bref, tout le monde a de quoi largement le soupçonner, mais personne ne fait rien pendant 3 tomes... Egalement, Christian Jacq fait apparaitre, une fois de plus, ses personnages fétiches, je pense notamment à l'âne Vent du Nord. Le petit clin d'oeil à ses autres romans aurait été sympa, mais à force, on arrive à saturation. Chacun de ses héros a le même âne ! D'autant plus que c'est un âne spécial, capable de dire oui ou non avec ses oreilles, qui sait reconnaitre les gentils des méchants, qui sait quel chemin prendre pour éviter les patrouilles, qui est capable de ressentir qu'il arrive malheur à son mâitre à l'autre bout de la ville... Ces yeux tireraient des rayons mortels que ça ne m'étonnerait même plus...

C'est vraiment très rare, mais voici 4 tomes qui ne prendront pas place dans ma bibliothèque, et que je vais prendre plaisir à revendre afin de les oublier au plus vite !

Bonjour tout le monde ! Nous voilà repartis dans le monde des lapinous où tout se passe relativement bien. Contrairement à moi (qui aime le soleil et la chaleur - je vous le dis, je devrais vivre en Egypte !) Impala et Pixel sont ravis de ce temps franchement pas estival. Il fait gris et pas franchement chaud, mais que ne ferais-je pas pour eux. En plein juillet, je me promène avec mon châle sur les épaules, afin de pouvoir laisser la terrasse ouverte et qu'ils puissent en profiter. Résultat, je ne sais pas pourquoi, mais cette année ils ont décidé que mon transat est en fait le leur maintenant ! Qu'ils en profitent, je leur laisse, il fait trop froid dehors pour moi ^^

Même Pixel s'y met ! Pas étonnant, ils passent leur temps à s'imiter ! Si l'un fait quelque chose, l'autre veut faire pareil !

J'avais espéré qu'une fois la chaleur passée, ils recommenceraient leurs tête-à-tête tout mignon. Malheureusement ce n'est pas le cas, retour à la case départ ! C'est peut-être à cause de la folle tentative d'Impala la dernière fois ! Je leur avais donné un morceau de fruit à chacun, et comme toujours, Impala a terminé la première. Elle a donc essayé de chiper le morceau de Pixel, mais, n'y parvenant pas, elle a tenté le tout pour le tout. Elle est passé derrière lui, puis a essayé de le monter ( oui c'est bien une femelle, mais chez les lapins, c'est aussi une manière de montrer qui est le dominant). Pixel n'a pas du tout apprécié cette vaine tentative de prise de pouvoir et l'a vite chassé. Depuis, il doit certainement se méfier un peu d'elle, et veut réaffirmer sa position de chef. D'ailleurs, ces jours ci, il aime bien lui renifler les fesses...

Heureusement, à part cette absence de câlins, ils s'entendent relativement bien. Il n'y a que dès qu'il y a de la nourriture que c'est parfois plus compliqué. Tant qu'il y en a largement assez pour les deux, tout va bien. Mais partager la nourriture, c'est pas leur fort ! 

La dernière fois, après avoir couper mon brocolis, j'ai voulu voir si ça les intéressait le grignoter le "trognon" (oui je sais pas vraiment si ça a un nom cette partie là ^^). Je leur ai donné, mais bien que ce soit un gros morceau, ils ont commencé à se le disputer. Quelle idée de ma part que de croire qu'ils pourraient croquer chacun d'un coté ! Il a fallu que je vienne le couper en deux pour régler le problème. 

Brocolis Party !

A part ça, voici quelques jours  qu'Impala recommence à éternuer de manière plus importante. Jusque là ça lui arrivait une ou deux fois par jour, on avait donc décidé avec sa vétérinaire de laisser comme ça tant que ça n'empirait pas. Maintenant c'est de pire en pire, il y a quelques nuits je n'ai presque pas dormi parce que je l'entendais tout le temps. Ce qui est étrange d'ailleurs, c'est qu'elle éternue beaucoup plus la nuit que le jour. J'ai du mal à trouver une explication logique ! J'ai donc pris rendez vous avec sa vétérinaire, je pense qu'on va probablement devoir lui remettre son piercing au nez, et probablement de manière définitive cette fois. Problème, il y a presque 2 semaines d'attente pour le rendez vous. En attendant, j'ai donc recommencé ses inhalations à la gentamicine, ainsi que la phytothérapie. C'est assez efficace, puisqu'au bout de 2 jours, elle n'éternue presque plus ! Malheureusement je sais que si j'arrête, ça reviendra très vite, et je ne peux pas lui en donner tout le temps, sinon les bactéries finiront par devenir résistantes.

Pixel, lui, semble ne se rendre compte de rien. Il faut dire, il ne peut pas l'entendre éternuer. Il continue donc de jouer avec elle, notamment en lui courant après. C'est comme ça que mon canapé se transforme en piste de course pour lapins-bolides surpuissants !

Après l'effort, Pixel se repose, mais j'ai du mal à comprendre comment il peut trouver confortable cette position avec la patte et le pompon sur la gamelle ! 

Une fois n'est pas coutume, je vous laisse non pas avec une jolie photo d'un de mes petits monstres, mais avec de jolies cigognes que j'ai croisé lors d'une promenade. Dans le village où habitent mes parents, il y a des nids de cigognes partout ! Bienvenue en Alsace ;-)

Le titre de cet article peut laisser rêveur, mais ne vous faites pas d'illusions, il n'y a vraiment pas de quoi fouetter un chat !

Ce samedi soir, mon mari (qui est taxi) a reçu une course à faire. Suite à une panne de voiture, un client a besoin d'être ramené chez lui, à Liège, en Belgique ! Puisqu'il n'était déjà pas tôt (22h) et que le trajet est tout de même bien long, j'ai décidé de l'acompagner. En plus de voir du pays, le but était surtout de pouvoir relayer mon mari pour le trajet du retour et lui éviter de conduire 8h d'affilée !

C'est ainsi que nous voilà tout deux partis pour environ 400 km (aller) en passant d'abord par le Luxembourg, puis en Belgique. J'aurais aimé profiter un peu du paysage, mais entre la nuit, et le brouillard, il faut être honnête, je n'ai pas vu grand chose d'autre que du macadam luxembourgeois et belge (oh surprise, il est comme chez nous ^^). Ce que je retiens tout de même, c'est qu'en Belgique, les autoroutes sont bien éclairées ! Certes, c'est pas très écolo, mais niveau sécurité, j'imagine que ça doit être efficace. 

Le temps d'apercevoir quelques maisons en briques rouges sur Liège et de déposer le client (2h), que je prends la relève de mon mari, et on prend le chemin de retour, pour 400 autres km ! Retour à la maison à 6h du matin, pour s'effondrer directement au dodo !

On ne peut certes pas dire que ce fut un voyage très intéressant, néanmoins par les temps qui courent, c'est la seule opportunité de voyage qui s'est présenté ! En cours de route on s'est d'ailleurs inquiété pour le passage de la frontière, s'il fallait un test PCR. Ayant eu la course en dernière minute, mon mari n'aurait de toute façon pas pu en faire... Mais finalement des inquiétudes pour rien, puisqu'on est passé "comme une lettre à la poste" aux 4 frontières (France-Luxembourg, puis Luxembourg-Belgique et inversement pour le retour) Pas de contrôle, pas de force de l'ordre, évidemment, l'heure plus que tardive (ou matinale selon comment on voit les choses) en est peut-être la raison.

En tout cas, j'ai apprécié cette petite aventure, il faut dire, j'ai toujours aimé les longs trajets en voiture. Avec le calme de la nuit, c'est encore plus agréable ! En revanche, je ne vous conseille pas de le faire si c'est à vous de payer le taxi, le taximètre a bien chauffé ce soir là. A ce tarif là, je préfère partir une semaine en Egypte^^

Avez-vous également des pâtisseries qui, sur papier, vous donne terriblement envie, alors qu'en vrai, vous n'aimez pas ? Moi c'est le cas des Forêts Noires ! L'alliance chocolat cerise et crème me donne l'eau à la bouche, mais en pratique, je les trouve toujours trop alcoolisées, les cerises pas assez présentes, bref pas à mon goût ! Ca m'a donc donné envie d'en faire une à ma façon, et c'est ainsi qu'est né mon tiramisu façon Forêt noire ! 

Ingrédients (pour 4 verrines) : 

- 400g de cerises dénoyautées

- 4cl d'eau

- 100g de sucre

- 1/2 citron

- 3 œufs

- 250g de mascarpone

- 100g de chocolat noir

- 1 paquet de gavottes ( ou crêpes dentelles)

- 15cl de crème fraiche (ou chantilly toute prête)

Commencez par préparer le coulis de cerises en mettant dans une casserole les cerises dénoyautées (gardez en quelques unes à part pour la déco), l'eau, le jus d'un demi citron et 50g de sucre. Faites cuire doucement pendant 20 minutes, puis mixez le tout au blender pour obtenir un coulis bien lisse. Passez le au tamis pour enlever les derniers morceaux. Laissez refroidir.

Pendant ce temps, vous pouvez attaquer la crème mascarpone au chocolat. Pour ce faire, séparez les blancs des jaunes de 3 œufs. Blanchissez les jaunes avec 50g de sucre, puis rajouter la mascarpone. Mélangez bien jusqu'à ce que la pate soit bien homogène. Faites fondre le chocolat (micro onde ou bain marie) puis rajoutez le en continuant à bien mélanger. Montez ensuite les blancs en neige ferme puis rajoutez les délicatement à la préparation.

Il est temps de passer au montage. Emiettez dans chaque verrine 2 gavottes (j'ai choisi celles enrobées de chocolat pour ma part) puis recouvrez à moitié de crème mascarpone. Arrosez ensuite généreusement de coulis de cerise. Continuez avec une seconde belle couche de crème, puis terminer par quelques morceaux de cerises recouvertes d'un peu de coulis. Réservez le tout au frais au moins 4 heures.

Au moment de servir, rajouter une pointe de chantilly, puis posez une joli cerise au sommet !

Bonne dégustation !

"Cinquante ans après la mort du pharaon Aménophis IV, plus connu sous le nom d'Akhénaton, un normalisateur, Parêhotep, est chargé par le pharaon régnant Séthi Ier de liquider l'hérésie amarnienne, qui avait imposé le culte exclusif du disque solaire, en en faisant disparaître les vestiges. Dans les ruines de la cité abandonnée d'Amarna, au bord du Nil, le chargé de mission exhume des rouleaux de papyrus échappés à la restauration culturelle des prêtres d'Amon, qui ont repris le pouvoir religieux à Thèbes. Ces rouleaux renferment la correspondance privée entre Akhénaton et son épouse, la reine Néfertiti : on y voit le jeune pharaon y développer sa vision théologique révolutionnaire et la reine s'inquiéter des conflits que celle-ci ne manquera pas de provoquer. Puis ce sont les mémoires plus tardifs de la reine qui sont révélés, où Néfertiti décrit sa vie à Amarna avec son époux, sa jalousie et la guerre d'influence sans pitié qui fait rage à la cour. Avec une grande précision historique, l'égyptologue Pascal Vernus fait revivre sous un jour intime et passionné le couple mythique de l'Egypte ancienne. Loin de l'image idéalisée et inaccessible de Néfertiti, Le Papyrus secret raconte l'histoire d'une femme voluptueuse et vulnérable, dépassée par la folie géniale de son roi."

♥♥/5

Je suis généralement une lectrice assez facile à satisfaire, mais une fois n'est pas coutume, voici un livre que je me suis dépêchée de finir, non pas parce qu'il me plaisait, mais plutôt parce que j'étais impatiente de passer à autre chose ! L'histoire en elle-même n'est pas inintéressante, elle me fait d'ailleurs penser au Roman de la Momie de Théophile Gautier (le personnage qui tombe amoureux de l'héroïne défunte au travers du récit de ses aventures), mais je n'ai pas pas du tout accroché au style utilisé. En effet, les tournures de phrases sont complexes, le langage parfois alambiqué. Il en ressort une atmosphère très passive et descriptive, bref ça ressemble plus à un essai littéraire qu'à un vrai roman.

Au delà de ça, la limite entre la fiction et la réalité est difficile à cerner. En effet, l'auteur Pascal Vernus est un grand archéologue qui, après avoir signé de nombreux essais, se lance ici dans son premier roman égyptologique. Pourtant on retrouve des erreurs historiques, comme par exemple Toutankhamon qui est ici fils de Kiya, la princesse étrangère. On sait aujourd'hui grâce aux études ADN que sa mère est une demi-sœur d'Akhénaton, donc une égyptienne. Certes, il faut prendre en compte que ce roman date un peu (2005) et que les connaissances ont évoluées depuis.

Et je continue mes cadeaux de Noël avec deux pulls pour mes neveux ! Soyons honnête, ils ne méritent pas autant d'effort (en même temps quand les parents ne savent pas dire merci, peut-on vraiment l'espérer des enfants ?!), mais au moins je me serais bien amusée à les faire ! J'adore le jacquard, quand je commence je peux plus m'arrêter ! J'adore voir le motif se dessiner au fur et à mesure, c'est hypnotique ! 

Il s'agit donc du modèle Adams Sweater de Yvonne B. Thorsen, disponible en anglais et en téléchargement payant sur Ravelry ( 4.74€). Comme pour les pulls pour mes nièces (de la même créatrice), je les ai fait avec du fil Wayuu de chez Ice Yarn, et cette fois ci, comme je l'espérais, pas de soucis de taille ! 

 Le gris c'est du 8-9 ans.

Et le kaki en 10-12 ans.

Quelques photos des différentes étapes :

Pour la suite, bien que j'ai un milliard de projets en tête, je pense que je vais continuer les cadeaux de Noël, avec un pull William d'Ann Kingstone pour ma mère ! Me restera ensuite plus qu'à trouver un modèle de pull homme pour mon père (en jacquard toujours, évidemment !)